Ça ne s'améliore guère : mon bras gauche est toujours aussi gauche dans ses gestes en raison de cette douleur qui n'est pas toujours déclarée mais, par contre, toujours latente, prête à se rappeler à moi au moindre faux mouvement. Andrew m'avait diagnostiqué une frozen shoulder mais depuis que Martine m'a dit que c'est un mal qui n'atteint pas les gens au delà de 60 ans, je suis perplexe. Cela me gène dès qu'il s'agit de porter des choses un peu lourdes ce que je ne peux pas m'empêcher de faire quand même. Comme Isabel, elle, a certainement cette frozen shoulder à gauche également, nous nous retrouvons avec deux bons bras droits, actifs et solides, et deux bras gauches en compote.
Hier j'ai repris un petit livre dont j'avais abandonné la lecture il y a quelques mois : L'affaire Vargas de Fernando Pessoa. Cela se passe à Lisbonne et je me délecte à reconnaître les lieux qu'il évoque.
Je viens de terminer ce petit livre qui en dit long sur les talents spéculatifs de Pessoa.
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