L'année dernière, c'est-à-dire hier, nous sommes allés voir la maison que Richard T. aimerait acheter à Cova do Vapor de l'autre côté du Tage, au bord de l'océan. La matinée était grise mais quand nous sommes arrivés là-bas, le ciel était dégagé et nous avons pu profiter d'une vision magnifique de sa future maison et surtout du paysage. Cette maison est à une dizaine de mètres des vagues et on les entend déferler derrière une barrière de blocs de roche protecteurs. Izilda me disait que tous les soirs on pouvait se perdre dans la contemplation magique de couchers de soleil tous plus beaux les uns que les autres. Il y a quelques travaux à faire, certes, pour la rendre habitable mais, si l'affaire se conclut, cela pourra se faire assez vite, sans doute. Cette maison a un potentiel extraordinaire. Je me réjouis beaucoup d'aller rendre visite aux deux amis que j'aurai là-bas à Cova do Vapor : Richard et Izilda.
Richard est ensuite venu, le soir, chez nous avec son amie Ute, qui était, elle aussi, enthousiaste devant cette maison. Nous avons fêté le passage de 2017 à 2018 ensemble, en respectant la tradition des 12 raisins secs que l'on s'échange en couple sur les douze coups de minuit que nous n'avons pas entendus, d'ailleurs. Isabel (avec Sasha) avait préparé une entrée délicieuse qui nous a permis d'étrenner les pocheuses à œuf que nous avait offertes Fabien à Noël. Ce matin, le ciel que j'ai découvert par la fenêtre était d'un bleu très pur sans la moindre parcelle de vapeur blanche. Une fort belle journée s'annonce.
Je souhaite à tous mes lecteurs, occasionnels ou non, en Ukraine, au Congo, en Algérie ou ailleurs, à Hong Kong notamment, une très bonne année 2018. Puisse-t-elle compter, comme celle d'il y a un siècle, comme une année de paix, de bonheur et de partage. Nous fêterons le cinquantenaire de mai 68. Et le bicentenaire de la naissance de Karl Marx. Ma fille Célia aura 50 ans. J'espère que nous pourrons nous retrouver pour célébrer l'événement.
Je souhaite à tous mes lecteurs, occasionnels ou non, en Ukraine, au Congo, en Algérie ou ailleurs, à Hong Kong notamment, une très bonne année 2018. Puisse-t-elle compter, comme celle d'il y a un siècle, comme une année de paix, de bonheur et de partage. Nous fêterons le cinquantenaire de mai 68. Et le bicentenaire de la naissance de Karl Marx. Ma fille Célia aura 50 ans. J'espère que nous pourrons nous retrouver pour célébrer l'événement.
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