Entendu ce lapsus "Gi-l-braltar" pour Gibraltar, ce matin sur France Inter, proféré par la journaliste qui, à 9 heures, nous donnait les infos du matin. Ce qui m'a étonné, c'est justement d'avoir pu "entendre" ce "l" surnuméraire. L'ai-je d'ailleurs vraiment "entendu" : une petite hésitation entre la première syllabe "gi" et le reste du mot "braltar" pourrait aisément se faire passer pour un "l". Pourquoi ? Pourquoi pas un "r" ?
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J'ai commencé hier soir le roman d'Edgar Hilsenrath, Le Nazi et le barbier, Le Tripode, 2018. Dès les premières pages, on se retrouve dans l'ambiance joyeuse et légèrement distancée que crée l'écriture pleine d'humour de cet auteur dont j'ai déjà parlé ici. Je me réjouis de poursuivre.
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