... ni couronnes. C'est le titre du petit livre de Maylis de Kerangal que je viens de lire. C'est une nouvelle, publiée en 2006 aux Editions "Minimales". C'est un texte dont le style se déguste comme une rareté gastronomique. Je le recommande vivement.
Hier soir, juste avant de m'endormir j'ai rouvert Les Frères Karamazov de Dostoïevski (traduction d'Henri Mongault, Gallimard, 1948. Cela fait longtemps que j'ai envie de relire ce roman dont j'ai des souvenirs trop vagues pour qu'ils me soient encore utiles pour penser. Peut-être que la lecture que j'en ai faite à 15/16 ans continue à m'habiter, à habiter mon inconscient.
Ce matin, j'ai marché pendant une heure et demi et je perçois une nette amélioration. Serait-il possible que je retrouve un usage de mes jambes "de fumeur" tel que je pourrais à nouveau envisager de grandes ballades en montagne ? Dans les Vosges par exemple ? En automne de préférence...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire