C’était aujourd’hui à 13 heures qu’une petite cérémonie funèbre a eu lieu au crématorium de la Robertsau à Strasbourg pour honorer Francis, le mari de ma sœur Françoise et qui fut mon meilleur ami il y a plus de cinquante ans. J’ai retrouvé une photo de cette époque-là. Nous allions souvent nous promener dans ces endroits sauvages qu’il y avait autour de Strasbourg. Je crois que c’est Irène qui a pris cette belle photo. Il y avait beaucoup de vent. Je ressens encore cette poussée d’un vent d’hiver froid qui veut vous bousculer, sans trop y croire d’ailleurs. Cette photo représente assez bien l’amitié qui nous unissait.
Hier soir, dans l’avion qui nous ramenait à Lisbonne, nous avons regardé un film de Netflix. Nous avons ainsi vu le film Geronimo de Walter Hill (1993). Pas mal, sans plus. Mais par contre, en reprenant ma lecture interrompue de La diagonale de la joie, je tombe à nouveau sur Geronimo, sujet de l’une des visions que l’auteure a eues au cours de certaines de ses transes. « Synchronicité », c’est ainsi que ça s’appelle et j’aime bien ça !
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