Voici le fleuriste chez qui Charlotte fait son apprentissage. Il s’agit d’Arom, avenue Ledru-Rollin. L’un des clients nous a dit (pendant qu’on attendait que Charlotte soit libérée pour pouvoir déjeuner avec elle) : « Je viens toujours ici, parce que ce sont des artistes. »
Voilà qui augure bien de sa formation actuelle, même si, comme elle nous le rappelle assez souvent, elle n’a aucune envie de devenir fleuriste plus tard ! Allez comprendre !
Ceci dit, Paris est une ville épuisante. On y marche beaucoup avec des jambes —en ce qui me concerne— et des chevilles surtout, quelque peu vacillantes. Je suis allé à la FNAC des Halles. Il y avait un monde fou, des gens qui couraient dans tous les sens pour faire leurs derniers achats de Noël. Bien sûr, j’ai dû aller aux toilettes au milieu de ma quête du livre de Corine Sombrun, La diagonale de la joie, Albin Michel, 2021, que je vais enfin commencer à lire. Et cette interruption m’a fait monter et descendre des escalators dans un véritable labyrinthe sans repère pour s’y retrouver. C’est angoissant.
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