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dimanche 15 mai 2016

Rue de l'Univers

Nous l'avions trouvé, notre nouvel appartement avec une adresse qui nous plaisait : 1, rue de l'Univers. Dans le quartier de la poste du boulevard d'Anvers à Strasbourg. Quand nous y retournons, Charlotte et moi, nous rencontrons un homme qui en vient et qui, tout content, nous dit qu'il vient de le vendre. "—Comment ?!? m'exclamai-je. Vous avez vendu l'appartement pour lequel nous avions déjà déposé une caution ??? Je vous ferai un procès." L'homme est tout penaud. Pendant que moi, je me demande si j'ai vraiment déjà déposé cette caution. Je doute.

Merci à Fred et à Guy, qui, tous deux et indépendamment l'un de l'autre sans doute, m'envoient les références de l'ouvrage dans lequel a paru l'article "Le singe dactylographe" de Dominique Goy-Blanquet et dans lequel d'autres stratfordiens (et antistratfordiens semble-t-il) présentent leurs arguments. L'ouvrage a pour titre : Shakespeare. Combien de prétendants ? publié aux Editions Thierry Marchaisse, 2016. J'ai vu qu'il était disponible sur le Kindle. Un bon moment en perspective.



* * *

Hier j'ai regardé le film de Rolf de Heer, Charlie's Country avec David Gulpilil, un acteur aborigène d'Australie (la région de Darwin dans le nord du continent) qui joue son propre rôle dans une histoire qui raconte l'ethnocide de sa culture. C'est un film poignant qui montre notamment les dégâts de l'alcool auprès des aborigènes. Un entretien avec le réalisateur à la fin où il témoigne de sa rencontre avec David Gulpilil.


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