Quand je suis arrivé dans mon bureau ce matin et que j'ai regardé l'horizon par la fenêtre, j'ai vu, sur fond de ciel bleu, une chaîne de montagnes. Elle n'y était pas hier. Evidemment ce n'était que des nuages mais ils étaient aussi sombres que le fond de collines qui s'y trouve en effet, avec deux mamelons bien dessinés qui ressemblaient à s'y méprendre à deux sommets où il ne manquait que deux taches blanches pour en faire de vraies montagnes couvertes de neige éternelle. J'étais stupéfait. Ou, comme le disait déjà Charlotte à trois ou quatre ans, abasourdi.
Autre sujet d'étonnement : je m'aperçois que le modèle que j'ai adopté pour mon blog, indique parfois des dates erronées. Mon article d'hier apparaît sous mercredi 11 mai, alors que je l'ai écrit hier. Nous allons voir sous quelle date apparaît celui-ci. En tout cas, nous sommes le vendredi 13 mai. C'est l'anniversaire de mon ami Eric Gallais. Je ne manquerai pas de lui souhaiter une bonne santé.
Dernière remarque : je m'étais levé à 5 heures, puis recouché à 6 heures avec une image dans la tête comme pour induire une succession de rêves intéressants : l'image d'un ouvre-boîte doté d'une mécanique impressionnante, un ouvre-boîte qui prenait tout l'espace du cône visuel que les Grecs imaginaient sortir de notre oeil pour attraper visuellement le monde. Mais cet ouvre-boîte n'a ouvert aucun coffret de songes, il n'a donné accès qu'à une succession bizarre d'opérations artithmétiques, oh pardon, arithmétiques, divisions et multiplications de fractions. Curieux.
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