J'ai trouvé les arguments de Bougnoux en défense de Tassinari intéressants mais après avoir lu plusieurs articles du livre dirigé par Goy-Blanquet et Laroque, je me range plutôt du côté des "orthodoxes", les stratfordiens, qui pensent qu'il y a bien eu quelqu'un appelé Shakespeare, acteur et auteur des magnifiques tragédies et comédies que nous connaissons. Nous ne possédons pas beaucoup d'éléments biographiques ou même autobiographiques le concernant. Il faudrait lire Hildegard Hammerschmidt-Hummel ( The True Face of William Shakespeare, entre autres) pour étoffer un peu plus la connaissance de l'homme. Mais on ne peut pas encore l'avoir sur le kindle. Je suis étonné de voir qu'elle n'est presque jamais citée par les auteurs du livre de Goy-Blanquet et Laroque alors que Patrick Harsch à Luxembourg en fait grand cas. A creuser.
Le soleil se lève... après une nuit d'enfer à Lisbonne en raison d'une victoire de Benfica au championnat national de "balle au pied". Cris, pétards, feux d'artifice, circulation infernale, foules dans toutes les rues et surtout sur la place du Marques Pombal, la nuit a été chaude. Dès que j'aurai pris ma douche, je vais aller déplacer la voiture qu'Isabel a réussi à parquer après avoir tourné pendant une heure dans le quartier.
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