Au fur et à mesure que le chantier avance, je me sens moi-même de plus en plus impatient de l'habiter. Cela va changer ma vie, encore une fois. Je crains un peu les moments du déménagement. Il va falloir à nouveau mettre les livres en caisse et porter les caisses. Hum ! Bon... Je me réjouis trop vite car, en réalité, il y a encore beaucoup à faire —le premier étage n'est pas commencé, et les escaliers ne sont encore que des échelles instables—, bref, je ne suis pas sûr du tout que nous pourrons fêter le 25 avril sur notre terrasse. Enfin, nous verrons. Mais, ce qui est sûr, c'est qu'à Noël nous pourrons certainement recevoir toute la famille !
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