Rêve très étrange aujourd'hui. J'étais allé avec Daniel B. acheter des chaussures. Des "Tavana" Mac ou quelque chose comme ça. En tout cas des chaussures de marque. Je fais un premier magasin où il ne restait plus que des chaussures de couleur bleue. Dans un autre magasin, on me fait essayer des chaussures, les fameuses "Tavana" Mac, mais elles ont de petits talons aiguilles. "C'est la mode aujourd'hui", me dit-on. Je les essaye, mais non ! je ne les achèterai pas.
Je me retrouve ensuite dans un autre rêve en train de rentrer chez moi sur un vélo, très moderne lui aussi où Irène a pris place également. Il faut longer un long mur sur une piste de métal rouge. Je ne vois pas l'entrée. Beaucoup de gens à pied encombrent cette espèce de piste qui n'en est pas vraiment une. Je réussis à maintenir mon équilibre malgré les obstacles nombreux, tel qu'une bande de vélos stationnés en bord de piste à travers lesquels je réussis à passer.
Mon corps récupère bien pour le moment. Je mange presque de tout. J'ai l'intention de me remettre bientôt aux légumes et aux fruits. Progressivement bien sûr.
Comme je suis contente!
RépondreSupprimerBonsoir,
RépondreSupprimerJe viens de découvrir ton blog, d'y trouver une façon de se "donner" pleine de respect et d'amour de soi et des autres qui m'a fait encore regretter de n'avoir pas pu être présente à ton mariage il y a douze ans déjà et qui me permet de revisualiser cette fin de mois de juin de bonheur pour toi que j'aurai aimé partager !
Quelle énergie et quelle discrète attention à soi et aux autres, quelle pudeur aussi pour parler ainsi avec autant de dévoilement que de discrétion que révèle ce blog et je salue avec plaisir en ce 19 juillet ce journal et l'annonce d'une belle récupération !
Racontes-nous les fruits et les légumes qui seront progressivement au menu....
Il est temps à présent de te quitter, car il est bien tard !
FBW
Merci Françoise pour ton soutien inattendu et bienvenu. Je suis très heureux que la lecture de mon blog t'ait plu. Ce n'est pas toujours facile d'écrire comme il faut. Et je ne suis pas sûr d'y arriver toujours.
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