Le loup — non pas un loup mais le loup — m'a suivi cette nuit dans mon rêve. C'était en réalité plus l'ombre du loup, que le loup lui-même. En effet, il se confondait avec la couleur du mur de cette cave dans les boyaux de laquelle je circulais jusqu'au moment où j'arrive à un bar. Je commande quelque chose à boire et l'ombre de mon loup tente de me pousser pour avoir lui aussi quelque chose. Je sens son long museau tenter de m'écarter un peu à droite puis à gauche, pour obtenir ne fut-ce que mon attention. Finalement, je sens qu'il s'accroche à mon dos, tranquillement. Ce qui me permet de me rendre compte qu'un loup, même réduit à son ombre, peut être très lourd.
Dans le rêve suivant, je démantibulais notre maison de la rue Gœthe à Strasbourg. Il y avait toute une équipe. Mais tout s'écroulait petit à petit. Il fallait rebâtir certes mais auparavant, tout démonter.
Il fait magnifique à Mersch. Le ciel est d'un bleu magnifique, un peu plus pâle qu'à Lisbonne mais néanmoins sans le moindre pli. Ce soir, je serai de nouveau à Lisbonne.
Dommage que tu ne passes pas par chez nous. Si proche et trop loin quand même. Ah lala....les retraités ne sont plus ce qu'ils étaient
RépondreSupprimer