A l'aéroport de Luxembourg, hier soir, j'achète l'un des derniers livres de Kazuo Ishiguro, le Prix Nobel de Littérature 2017 : The Buried Giant (Faber & Faber, 2015). J'avoue être quelque peu déconcerté par ce roman étrange. Je ne sais pas encore si j'irai jusqu'au bout.
J'ai pris la compagnie Ryanair, hier pour revenir à Lisbonne. C'est comme de prendre un bus. Un vieux bus, marqué par un usage déjà ancien. Avec un personnel efficace mais très relax. Ils font leur boulot sans état d'âme, et même parfois, avec gentillesse et compétence. Ils s'amusent entre eux. Au fond, c'est le résultat d'une banalisation extrême du transport aérien.
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