Ce matin, le ciel était gris/jaune. Comme à Grenade, mais de façon moins intense, le sable du Sahara, poussé par ce vent qu'on appelle "sirocco", a envahi la ville. On peut en voir les traces sur le mur de notre terrasse. Il nous est conseillé d'éviter de sortir tant que cela va durer. Mais cela change la lumière. Lisbonne est plongée dans une atmosphère dorée, chaleureuse, alors qu'il fait assez froid. Les chats —Gaston a la même couleur que le sable qui a atterri sur le mur— restent à l'intérieur également. À midi, nous irons manger avec Lindsay qui est revenue de Californie où elle a pu vendre son appartement en six jours.
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