Beaucoup de rêves cette nuit. Le dernier mettait Régis de L. en scène. Nous étions dans le métro à Paris et nous retournions vers l'Université Paris Rive Gauche. C'était la ligne noire mais je n'étais pas certain et je cherchais partout des cartes pour être sûr de mon itinéraire. A un moment donné nous profitons d'un arrêt pour sortir. Régis me demande l'heure. Je me souviens que ma montre est restée dans mon pantalon qui se trouve dans la machine à laver. Mais j'ai mon smart phone, —hhha !— que je consulte. En fait, pour qu'il puisse marquer l'heure il faut en enlever une partie. Mais le métro s'apprête à repartir. Nous nous précipitons. Nous descendons tous les deux à Jussieu en laissant les autres poursuivre vers Paris Rive Gauche. Nous sommes dans une ruelle très étroite. Il y a beaucoup de monde. Nous projetons d'aller manger dans un restaurant que nous connaissons tous les deux et nos routes se séparerons ensuite.
Avant ça, il y avait une histoire de Colloque et avant encore, Feyerabend avait été mon personnage onirique principal. Bref, des insomnies, des rêves, des insomnies et encore des rêves.
Je pense à Julien, le fils de Célia, qui s'intéresse au rêve lucide. J'avais rencontré, quand j'étais à Strasbourg, un doctorant qui terminait une thèse sur cette question. Son rêve (!) c'était de rêver qu'il se rendait dans une bibliothèque, qu'il choisissait un livre qu'il n'avait jamais lu auparavant, qu'il l'ouvrait, se mettait à lire. Au réveil il espérait pouvoir se souvenir de ce qu'il avait lu dans son rêve. Je sais qu'il est devenu professeur de psycho un peu plus tard. Mais je ne sais pas s'il a réalisé cette performance. Néanmoins, il était capable de rencontrer des personnes dans ses rêves, personnes qui réussissaient à rêver ces rencontres, et qui pouvaient ensuite en témoigner en évoquant très précisément ce qu'ils s'étaient dit pendant le rêve. Qui veut essayer avec moi ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire