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lundi 29 février 2016

Foi

Nous sommes allés manger à la Fabrik, hier soir, un nouveau restaurant semble-t-il, situé près de la Gare à Mersch, rempli de la jeunesse locale, mais il n'y avait plus de place, ce qui fait que l'on a commandé, Charlotte une pizza, moi un Tartare, que nous avons mangé dans la salle où je prends tous les matins mon petit déjeuner, en face de ma chambre à l'Hôtel Sigefroid de l'internat. Cela m"a permis de voir les informations sur France 2.

J'ai fait, comme toujours, beaucoup de rêves cette nuit. L'un d'eux portait sur la foi, un état de foi qui, pour être authentique, doit refuser toute raison, toute intelligence critique. Croire, ce serait seulement croire absolument, sans le moindre doute. Cela exigerait une fermeture complète à toute incertitude et, à dire vrai, une telle foi résulterait d'une décision, la décision d'être bête, faire le sacrifice de ses propres capacités de raisonnement. Ce ne serait qu'à cette seule condition que la foi pourrait vous apporter une sorte de réconfort associé au divin, à la transcendance. Les images que ce rêve évoque sont très floues, mais je vois deux membres du clergé — des jésuites ? —avec des options divergentes sur cette question. Peut-être ce rêve est-il né de la discussion que j'ai eue récemment avec Martine quand nous avons parlé de l'abbé Chauveau et de René Naegert, "le Pope", qui furent pendant un certain temps des amis de notre famille à Strasbourg.


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