Rien à voir cependant avec les e-mails d'Hilary Clinton mais plutôt, l'insistance de ce mot "podesta", toujours évoqué redoublé, "podesta, podesta" dans le rêve de cette nuit qui impliquait mon ami Patrice en visite dans une voiture étrange qu'il conduisait, revêtu d'un costume gris-vert très élégant sur une chaise ancienne. La voiture tirait un cercueil qui glissait sur la route, d'un bord à l'autre, en particulier lors d'une bifurcation dans la forêt du Rhin, en hiver, paysage de désolation... Un rêve étrange qui se poursuivait après chaque réveil, toujours sur ce doublon lexical "podesta, podesta".
J'ai dormi longuement cette nuit car j'étais très fatigué hier soir.
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