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dimanche 16 juin 2013

16 juin***Ô rage, ô désespoir

Il y a deux ou trois jours, ma fille Charlotte me dit qu'elle voudrait reprendre l'escrime. Mais pourquoi as-tu quitté les leçons que tu avais il y a trois ans ? Je n'aimais pas le prof, dit-elle. D'accord... Est-ce là ce qui me fait rêver : Les deux prétendants sont là, avec leurs épées, l'un en face de l'autre... J'offre la virginité de ma fille... pardon ? Non ! tu n'y es pas... c'est à Charlotte de se prononcer. Elle le fait : j'offre ma virginité au gagnant. Hum ! me dis-je, ne devrait-elle pas l'offrir au perdant ?... le combat en serait beaucoup plus intéressant... [Une fourmi traverse mon écran.] Et puis... le gagnant risque d'être brusque et peu compétent !
Puis, toujours dans le rêve, la production du matériel : "Ô rage, ô désespoir..." Tiens donc... Corneille, ici, à cette heure ? qui me remet à ma place. Le rêve est un oiseau noir qui vient picorer les mots du blog d'hier. Curieux détours !

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Ecrit vers 3h du matin lors d'un réveil. Et ce matin, dans Futura Sciences je lis la mise au point d'un oiseau robot, Robot Raven, si parfaitement "oiseau" que les faucons viennent l'attaquer en plein vol. Ce Robot Raven va-t-il lui aussi envahir nos images nocturnes et nous offrir des rêves artificiels ?

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Grâce à la disponibilité immédiate de statistiques quant à l'origine des lectures du blog, j'ai pu constater l'existence d'un nombre impressionnant de lecteurs aux Etats-Unis aussi bien qu'en Russie. Il semblerait que les Russes se soient lassés plus vite que les Américains qui, eux, continuent sans doute à surveiller mon blog avec la patience du fauve aux aguets. Quel est le mot qu'il ne faut pas dire sans risquer l'apparition d'un drone dans le ciel serein de Lisbonne ? 

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