Hier, au cours d'une journée de shopping éreintante avec Charlotte à Paris, j'ai enfin trouvé, dans un magasin de fripes du boulevard Saint Germain, un pantalon de velours noir que j'ai fait retoucher ce matin dans le quartier d'Oberkampf. C'était le dernier pantalon de velours noir de tout le magasin. Charlotte a trouvé les Jeans qu'elle voulait pour une somme modique. Cela lui donnait un style un peu différent de son style habituel surtout avec son nouveau sac à dos, un Fjallraven, venu tout droit de Suède et qu'on lui avait promis depuis Noël. Ainsi équipée, elle est prête à affronter son dernier trimestre au lycée Ermesinde.
La nuit dernière je l'ai passée sur la péniche d'Eric et Christine. J'ai très bien dormi. J'étais content de voir Eric qui, au retour de son voyage en Nouvelle Calédonie, avait dû passer par les soins intensifs. Il a failli mourir mais il reste très "zen" à ce propos, tout comme Christine d'ailleurs. Nous avons pu discuter longuement, avec de petits verres d'un excellent vin rouge pour arroser un boudin de Toulouse absolument délicieux. Christine m'a prêté Le météorologue d'Olivier Rolin dont j'ai aussitôt entamé la lecture, délaissant pour un moment l'excellent roman de Zia Haider Rahman, In the Light of What We Know, un écrivain bengali tout à fait passionnant que je terminerai plus tard. Le livre d'Olivier Rolin est tout petit et je n'en ferai sans doute qu'une bouchée dans le train qui nous amènera demain, moi et Charlotte, à Luxembourg.
Aujourd'hui à midi, j'ai été déjeuner chez Fabien et Fianna. Fabien très cordial et affectueux. Fianna, moins chaleureuse qu'auparavant.
Ce soir je vais à un concert donné par Sarah, la fille de Claude. Je m'en réjouis.
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