Ah... mais c'est qu'il bouge
Ce grand échalas feuillu
Que le vent chatouille
Ce grand échalas feuillu
Que le vent chatouille
Notre nouvel appartement prend forme tout doucement. Mais ce n'est pas fini. J'ai trié des livres hier soir encore jusque vers 23 heures, mais je crains que cela ne suffise pas. Je vais me débarrasser des Pères de l'Eglise, une collection datant du début du XIXe siècle. Il y a aussi La Vie des hommes illustres de Plutarque, en 12 volumes : cela prend une place folle alors que l'on peut avoir la même chose en un volume dans la collection Quarto de Gallimard. Bref il n'est pas facile de passer de 160 à 130 m2 surtout quand on n'y a jamais pensé auparavant. J'ai fait de grandes coupes également dans les archives de mon père. Même si je ne suis guère séduit ni par sa prose ni par sa poésie, cela me fait mal au cœur de jeter des poèmes manuscrits inédits. Ceci dit, s'ils sont restés inédits, c'est peut-être parce qu'ils étaient médiocres. En tout cas, si moi, je les ai sacrifiés c'est parce qu'ils ne me plaisaient pas. J'ai gardé ses romans. Par contre ses articles "éducatifs" sont aussi partis.
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