Je ne sais pourquoi, un thème qui revient souvent dans mes rêves est celui de Bleachfield, le nom du groupe de maisons que nous occupions sur le campus de l'Université de York, en Angleterre entre 1969 et 1974. Cette nuit je m'y retrouvais avec Brian et sa famille. Tout était changé. "Ils" avaient construit une colline boisée juste derrière la maison, là où, auparavant, il y avait une pelouse anglaise, verte à faire peur, qui descendait doucement vers le lac, parsemée de coprins noir d'encre appelés toadstools par nos amis anglais. Brian habitait à l'étage et "nous" occupions le rez de chaussée. Avant d'aller dormir, je voulais éteindre la radio mais celle-ci se rallumait constamment en raison sans doute d'un déréglage mystérieux. Je contemplais la colline avec stupéfaction me demandant comment ils avaient pu faire ça. Il y avait aussi plusieurs nouvelles maisons en construction le long du chemin qui menait à la colline.
Ce matin, je dois préparer ma valise. Nous partons vers 15h30 pour l'aéroport. Ce soir, nous dormirons chez Fabien et demain matin, nous prenons le train pour Cluses. En attendant, j'attends un coup de fil de Sid qui est arrivé hier soir à Lisbonne sans doute et qui doit aller en Algarve aujourd'hui.
Hier soir j'ai reçu un message de Jeannot, actuellement en Chine. Le message est plein d'optimisme. Je me réjouis de savoir comment leurs contacts se sont déroulés.
Bonnes vacances de neige à vous deux!
RépondreSupprimerSoyez quand même prudents.
Bons baisers
Merci Françoise ! Il est possible que l'écriture de ce blog soit interrompue certains jours de la semaine qui vient. Mais si je me casse une jambe, je vous le ferai savoir.
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