Toujours pas de ski pour moi. Pourtant, je me réveille tôt. Mais
avec des courbatures et cette épaule ankylosée qui m’empêche d’être totalement
libre de mes mouvements. Je reprendrai sans doute un Ibuprofène ce matin, ne
fut-ce que pour pouvoir m’activer dans la cuisine.
Entre 4h30 et 6h30, je vois des lumières blanches bouger
doucement sur les flancs de la montagne juste en face de notre immeuble, comme
des lucioles un soir d’été. Si je tends
l’oreille, j’entends leur ronronnement de bulldozers. Ils préparent les pistes
qui seront assaillies par les touristes dès 8 heures. Mais pour l’instant tout
est très calme.
Hier soir nous avons joué à un jeu : Dixit, que je ne connaissais pas. C’est
un jeu qui fait appel à notre imagination mais non sans qu’elle ne soit
légèrement bridée par la prise en compte de l’imagination des autres
joueurs. Il y avait six équipes. Les cartes qui offrent leur
support à ce jeu de confrontation des imaginaires de chacun sont esthétiquement
très réussies. C’est un jeu qui fait vibrer notre fibre surréaliste.
Je poursuis la lecture du roman de C.J. Samson, qui
ressemble de plus en plus au Nom de la
Rose d’Eco. C’est intéressant mais l’enquête menée par Shaldrake me semble
un peu trop prédictible.
Cher Baudouin est-ce tu passes par Paris au retour. Finalement je ne reste tranquillement travailler, pour changer, si tu as le temps, fais signe
RépondreSupprimerJe serai à Paris à partir du jeudi 26 jusqu'au samedi 28. Je serai avec Charlotte. Auparavant je serai à Luxembourg, avec Charlotte également.
SupprimerOn pourrait même essayer de diner avec Claude !
RépondreSupprimerTrès bonne idée.
SupprimerElle n'est pas là en ce moment, mais en Afrique du Sud
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