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dimanche 1 mars 2015

1er mars : Le ciel de Lisbonne

De gros nuages ventrus se promènent à travers des éclats de soleil : je suis à Lisbonne de retour après quinze jours d'absence. D'humeur plutôt chagrine et pleine de doutes malgré quelques bons moments à Paris avec Charlotte, notamment ce dîner chez Joëlle avec Claude qui nous parlait de son équipée en Afrique du Sud et des animaux, "the big five", qui se sont approchés si près... Il y aurait beaucoup à dire sur ces récits que l'on ramène de tels parcours touristiques dont les itinéraires sont conçus pour susciter les mêmes témoignages. Mais très heureux de retrouver Isabel, très en forme.

Au cours du dîner, hier soir, Charlotte a de nouveau exprimé son désir de passer l'année prochaine au lycée Ermesinde. Personnellement, je pense que cela lui ferait beaucoup de bien d'être un peu séparée de ses parents. Et puis, elle reprendrait certainement goût à la musique, au chant, notamment à travers une initiation à la guitare par exemple. Isabel n'est pas forcément contre ce projet. J'en discuterai avec Jeannot lors de son prochain passage à Lisbonne.

4 commentaires:

  1. joelle le marec2 mars 2015 à 07:50

    C'était un grand plaisir de vous voir, et de parler du lycée avec Charlotte. Et n'oublions pas que nous avons relancé le projet du livre Chaos des Ecritures !

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    1. Oui ! Je m'y mets dès aujourd'hui.
      Ce fut un grand plaisir pour moi aussi de te revoir en forme, même si les tracas administratifs continuent de te harceler quotidiennement.

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    2. joelle le marec2 mars 2015 à 13:45

      En fait, ce que nous appelons "tracas administratifs" est selon moi bien plus grave, nous ne devrions pas utiliser ce lexique. Il y a une idéologie qui n'est pas celle de l'efficacité, ce serait trop simple. Au contraire. Il s'agit de faire fonctionner des modèles contre toute réalité empirique et vivante, et donc, de faire en sorte que les individus soient défaillants, individuellement, et collectivement, contre les modèles. Je ne cesse de penser à Claude Lefort.

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    3. "...de faire en sorte que les individus soient défaillants, individuellement et collectivement, contre les modèles." Oui c'est ça qui est important. Nous vivons dans une société de la défaillance et les enfants apprennent à vivre dans ce type de société dès l'école dans la mesure où celle-ci s'intéresse en premier lieu à l'échec des élèves.

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