Visite d'amis à Strasbourg. Avec Bernard A., il me vient une expression : "Nous sommes les derniers vieux", lui disais-je. C'est une expression étrange qui entérine notre course à l'extinction des espèces, humanité comprise. Ce n'est pas une expression très optimiste, je le reconnais volontiers. Mais il faut y mettre assez d'ironie pour que cela se limite à une fulgurance réflexive. Tous les vieux de toujours ont toujours été les derniers vieux, évidemment !
Je suis actuellement chez Josiane. Et nous allons voir une exposition place d'Austerlitz, à nouveau. Je dis "à nouveau" parce que c'est là qu'Irène et moi avions retrouvé Célia, hier à midi, avant d'aller déjeuner dans un petit restaurant syrien, très propre et très chaleureux, où nous avons mangé un plat oriental excellent, arrosé d'un vin marocain tout-à-fait honnête.
Ne pas oublier d'acheter le dernier numéro de Fakir que j'ai pu feuilleter rapidement chez Josiane.
Finalement, je n'ai pas vu l'exposition de la place d'Austerlitz. C'était fermé le matin. Par contre j'ai passé une excellente soirée, hier chez Josiane. Nous avons parlé du cancer et des multiples traitements alternatifs qui existent à l'heure actuelle. Dans Fakir, j'ai lu le témoignage de Thomas sur la Centrafrique. Interviewé par François Ruffin. Éloquent. On a honte qu'il soit possible d'être fier d'être Français.
Ne pas oublier d'acheter le dernier numéro de Fakir que j'ai pu feuilleter rapidement chez Josiane.
Finalement, je n'ai pas vu l'exposition de la place d'Austerlitz. C'était fermé le matin. Par contre j'ai passé une excellente soirée, hier chez Josiane. Nous avons parlé du cancer et des multiples traitements alternatifs qui existent à l'heure actuelle. Dans Fakir, j'ai lu le témoignage de Thomas sur la Centrafrique. Interviewé par François Ruffin. Éloquent. On a honte qu'il soit possible d'être fier d'être Français.
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