J'ai oublié de mentionner hier que la veille, au cours de la balade avec Francine et Etienne, à la Boca do Inferno, je me suis laissé tenté par l'achat, pour la première fois de ma vie, d'une paire de pantoufles. Il faut dire que, tous les matins, quand je me lève vers 5.00 ou 6.00, il faut très froid dans l'appartement que je parcours pieds nus. Il s'agit de pantoufles fourrées que l'on enfile très facilement dans le noir. Comme je me lève plusieurs fois par nuit, cela me gardera les pieds bien au chaud pendant mes pérégrinations nocturnes. Ainsi, ai-je commencé hier, une seconde vie : ma vie de retraité pantouflard. Je n'en crois pas mes pieds !
La nuit dernière, j'ai fait beaucoup de rêves dont certains très étranges, qui me mettait moi-même en scène dans un lieu très semblable au Couvent des Capucins dont j'ai parlé hier. Je m'escrimais à faire griller une tranche de poisson dans un creux de rocher vertical qui montrait une face analogue à celle d'un grille-pain. Mais la tranche ne tenait pas dans ce foyer rudimentaire. Rien à voir avec ma nouvelle vie de pantouflard. Je doute fort en effet que les moinillons portugais qui vivaient là-bas aient pu disposer de pantoufles pour se promener dans leur couvent la nuit.
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