Hier soir, c’était la fête. Isabel avait invité beaucoup d’amis, les voisins, bref beaucoup de monde même pour la grande maison que nous habitons. Malheureusement, il pleuvait à verses dehors ce qui fait que l’on s’est tous retrouvés dans notre salon-cuisine du 4ème étage. Il y avait trop de monde à mon goût mais j’ai eu plaisir à parler avec certaines personnes que je n’avais pas vues depuis quelque temps. Je n’ai pas attendu la fin de la soirée pour me retirer dans notre chambre au 2ème étage, ce qui fait que je n’entendais pas les flonflons de la fête. En fait, on n’a pas eu droit aux flonflons parce que nos appareils de diffusion de la musique sont en panne depuis longtemps.
J’ai lu la moitié du nouveau roman d’Arthur Larrue, La diagonale d’Alékhine (NRF, 2021), et je ne sais pas si je vais continuer ma lecture. Ce texte me met mal à l’aise. Alors que j’avais apprécié le premier roman (Orlov la nuit) de ce jeune écrivain qui habite à Lisbonne et que nous connaissons bien, je trouve ce livre très décevant. J’essayerai de m’expliquer là-dessus, plus tard.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire