Hier soir, j'ai cuisiné une ratatouille qui a été très appréciée par Sandra notre invitée et par Isabel. Ce soir ou demain soir, nous devrions avoir une sole sur la table. Je m'en réjouis. Mais je n'ai toujours pas de date pour l'opération que je dois subir à nouveau. Cela m'ennuie parce que j'ai d'autres engagements en perspective que je ne peux pas décider sans connaître cette date.
Je lis aujourd'hui un petit article sur un médecin qui conseillait à ses patients en radiothérapie de faire appel à un "coupeur de feu" s'ils souffraient trop. Sans comprendre comment ça marche, il affirmait clairement que dans 80% des cas, cette pratique qui date du Moyen-Âge avait de bons résultats, comme l'attestent de multiples témoignages que l'on peut trouver sur internet. L'article salue le courage de ce médecin qui ose dire que la médecine officielle ne sait pas tout. Généralement elle invoque un effet placebo pour expliquer l'efficacité des coupeurs de feu. Mais alors, pourquoi n'y a-t-il que certaines personnes bien précises qui aient ce don ? Les hôpitaux ont leur numéro de téléphone dans leurs archives pour venir en aide à certains patients. Mystère, mystère. La photo est celle de Bernard Kerespars, un guérisseur qui habite à Clis (Guérande).
J'ai terminé la première partie du livre de Sam. J'aime beaucoup son écriture et j'entamerai aujourd'hui la deuxième partie qu'elle m'a envoyée hier soir.
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