Hier, j'ai de nouveau interrompu ma lecture de One River, pour entamer le gros livre d'Edgar Hilsenrath, Le conte de la pensée dernière (Albin Michel, Livre de Poche, 1998, traduit de l'allemand par Bernard Kreiss) qui traite des relations, souvent tendues et toujours compliquées entre les Arméniens, les Turcs et les Kurdes. C'est Richard qui m'a offert cet ourvage très particulier, et surtout très drôle, même quand il aborde des sujets qui sont censés nous faire frémir. Il y a beaucoup de dialogues et l'écriture est pleine de légèreté.
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