C'était la fête à Molsheim, une sorte de marché de Noël auquel j'étais parvenu en descendant des pentes assez raides qui me font déraper. Mais j'y arrive enfin et je monte dans un train où je rencontre... Sarkozy, entouré d'énarques et de courtisans de toutes sortes. Le président veut absolument que je devienne son ami. Pour moi, sans pour autant lui témoigner la moindre agressivité, cette rencontre n'a pas d'intérêt particulier, malgré ses avances. Je le vois avec son frère qui lui ressemble comme deux gouttes d'eau. Je suis parfaitement tranquille tandis que lui, s'agite dans tous les sens. A vrai dire, je n'en ai que faire et j'aimerais que la serveuse me remplisse mon verre de vin, de vain, de rien...
J'ai eu Charlotte au téléphone hier soir. Elle était très déprimée et mettait en question sa présence à Luxembourg. Elle pleurait et je me sentais très impuissant pour la consoler de si loin. Je pense, j'espère qu'elle tiendra bon. Elle ne se rend pas bien compte du côté positif de l'expérience qu'elle est en train de vivre.
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